Je suis Emilie Doré, formatrice auprès des doctorants et jeunes chercheurs.
Je veux vous raconter l'histoire de Valérie, doctorante en Sciences Politiques. Elle a commencé sa thèse il y a trois ans. Elle a accumulé beaucoup de connaissances, sans même s'en rendre compte d'ailleurs car elle se trouve elle-même encore très ignorante ! Elle a beaucoup, beaucoup réfléchi à son sujet de thèse ; elle a lu des dizaines d'articles et d'ouvrages académiques. Et puis elle a enquêté sur son sujet. Tant bien que mal, elle a bâti une méthodologie pour la passation de questionnaires.
La voilà qui commence sa quatrième année... et c'est à ce moment qu'elle me contacte. Son moral est au plus bas ! Elle ne sait plus où elle en est. Elle ne sait plus comment avancer, elle ne sait même plus très bien ce qu'elle cherche exactement. Elle n'a rien rédigé, et c'est sa dernière année ! Noyée au milieu d'un fouillis d'informations et d'une quantité de pistes d'analyses, elle est tout simplement en panique.
Je ne suis pas très surprise par son récit : des histoires comme ça, j'en entends très souvent ; et ces doctorants sont pourtant bien loin d'être incompétents .
Alors, aujourd'hui, je vous invite à commencer par le début : posez-vous d'abord les bonnes questions, pour ne pas laisser s'installer les problèmes.
L'exercice que je vous propose est une sorte de test.
Si vous avez des réponses claires à ces questions, il est probable que votre méthode est vraiment efficace, et que vous arriverez sans trop de peine au bout de votre thèse !
Sinon, si l'une ou l'autre de ces questions vous laisse perplexe, c'est probablement que vous vous interrogez au sujet de la méthode à suivre pour mener à bien votre recherche. Ces questions seront alors un premier pas pour mettre un nom sur les problèmes et les résoudre un à un.
Inscrivez votre adresse mail pour recevoir le document PDF
des 4 questions essentielles à se poser en début de thèse !
Mentions légales
Accès GRATUIT 100% sécurisé